top of page

Les attaques de panique ou angoisses : les origines

Dernière mise à jour : il y a 5 heures

Les angoisses, ce mal du siècle ! Ce problème remplit à lui seul la moitié de mon agenda et pour cause, il touche un nombre considérable de personnes tout en étant dans le top des pathologies que les médecins ne comprennent pas et pour lesquelles ils n’ont aucune solution viable si ce n’est parfois, une légère condescendance. Elles sont légions les Jeannettes qui sont sorties de chez leur médecin en s’étant entendue dire que tout ça, c’était dans la tête. 


Hé bien, ce n’est pas dans la tête, parce que c’est dans le corps ! La tête n’a rien à voir là dedans, ni la volonté d’ailleurs. Comme tous les symptômes de traumas c’est une réaction conditionnée causée par les mémoires corporelles traumatiques portées par la Jeannette en question et voici les deux origines de ces troubles.


Les angoisses oui attaques de panique : qu'est ce que c'est ?


Mais commençons par définir de quoi il s’agit, car on emploie énormément le terme « angoisses » pour recouper des réalités bien différentes. En fait, les « angoisses » du type attaques de panique dont je vais te parler aujourd’hui, font partie de ce que l’on appelle les troubles anxieux. Si on prend la définition de l’INSERM, organisme officiel faisant référence en termes de santé et de recherche scientifique (bien que loin d’être objectif), il est dit que ce sont des crises caractérisées par « la survenue brutale d’une peur intense, d’un sentiment de mort ou de catastrophe imminente et de perte de contrôle de soi. »


Les symptômes sont divers mais l’épicentre du problème se situe presque toujours au niveau du plexus solaire et/ou de la poitrine. Ces attaques interviennent dans tous types de circonstances avec quand même une large préférence pour les lieux publics bondés, les espaces confinés comme la voiture et les événements sociaux lorsque l’on est entouré de plusieurs personnes. 


Les 2 origines des angoisses / attaques de panique


Figure-toi que les attaques de panique ont des causes tout à fait identifiées et sans plus attendre je vais te les révéler. Ces deux origines correspondent à 2 évènements très précis se déroulant pendant sa vie intra-utérine et tous deux sont liés à une sensation de chute. Très clairement, lorsque les attaques de panique s’enclenchent, cela veut dire que le corps vient de se brancher à la mémoire d’une chute dans un vide interminable ou au sentiment d’être satellisé par une essoreuse géante. 


A quels événements cela correspond-il ? Voyons cela tout de suite


La centrifugeuse : La perte d’un jumeau


Les grossesses gémellaires sont extrêmement nombreuses. Malheureusement, à l’heure actuelle, la première échographie des femmes enceintes se fait encore à l'issue du 3ème mois. Pourtant la perte d’un des deux foetus se produirait entre le 2ème et le 3ème mois, ce qui fausse énormément les statistiques officielles. Ce n’est pas moi qui ai inventé cette information évidemment, et je constate de manière empirique à quel point elle semble être vraie. 


La phase que j’appelle de la centrifugeuse concerne les grossesses gémellaires dyzygotes (faux jumeaux) et certaines grossesses monozygotes (vrais jumeaux) quand chaque foetus possède son propre placenta. 


Lorsque l’un des foetus perd la vie, lui et son placenta ne sont pas laissés en plan, à flotter à la dérive, ce qui pourrait être dangereux pour le survivant. A un certain stade, un mécanisme de “nettoyage” créant une force centrifuge se déclenche dans l’utérus afin d’évacuer le foetus, avec, le cas échéant, son placenta s’il a le sien propre, en les amenant contre la parois de la poche amniotique dans laquelle il baigne afin de l’y fixer.


Or, cette force est perçue par le foetus vivant comme une terrible tornade, comme si on l’avait mis dans un panier à salade. Il peut alors avoir l’impression qu’il va être aspiré puis qu’il va tomber dans un trou sans fond. C’est la peur de la mort qui est alors réveillée très violemment même s’il ne risque en fait rien. Pour lui, sa dernière heure a sonné. 


Extrait de séance


“ C’est peu comme si j’allais tomber dans les pommes. Je ne maîtrise pas mon corps. J’ai peur de ne pas pouvoir réagir. Je risque de m’écrouler. Je peux tomber. Tout tourne autour de moi. J’ai l’impression d’être dans une roue. Elle va plus vite. Je perds l’équilibre. Je vois des espèces de formes. Elles tournent. On tourne au même rythme. J’ai peur car impression de ne plus être retenue. Je me crispe les orteils. Je risque de tomber dans un trou noir . Je ne vais jamais m’arrêter de tomber. ”

Tomber à la renverse - La préparation à la naissance


Au cours du dernier trimestre de grossesse, le foetus bascule naturellement (en principe) d’un position verticale tête en haut, ou horizontale, à une position verticale tête en bas. Ce retournement n’est pas du fait conscient du foetus et parfois c’est quelque chose de très traumatisant. 


Certains retournements se font en douceur mais parfois ils peuvent être vécus de manière très violente par le foetus qui a l’impression de tomber d’un côté ou à la renverse. Il va alors essayer de toutes ses forces de s’agripper afin de ne pas tomber mais cette action est tout à fait illusoire. Là encore, il a le sentiment de perdre pied, que le monde s’écroule sous lui et qu’il va tomber dans un trou infini, réveillant sa peur de disparaître pour toujours.


Extrait de séance


“ J’ai l’impression de pencher sur un côté, à gauche. Ça donne un peu le vertige dans la tête. Le coté droit compense pour ne pas tomber. Il s’accroche. Ça me fait peur. J’ai peur de l’inconnu. Je pourrais mourir [elle pleure]. C’est mon bras droit qui retient tout. C’est la seule chose qui m’empêche de tomber. J’ai plus de force. Parce que je m’accroche. J’aimerais bien lâcher. Même si je risque de tomber. J’en ai marre. J’ai plus de force ça me fait mal au bras.”

Bien sûr, ces problématiques sont solutionnables Jeannette. Les mémoires corporelles traumatiques n’ont pas vocation à rester stockées à l’intérieur de toi, elles seront ravies de s’en extirper et pour ça, je peux bien sûr t’aider. 


Dans le prochain article de cette série je te parle de l’anxiété généralisée, de la dissociation et du manque d’ancrage. Eh oui ! C’est la même cause pour ces 3 problèmes. 




 

Je suis Aude, thérapeute en Libération émotionnelle, pédagogue et chercheuse invétérée, j'ai développé une méthode rapide pour te permettre de libérer de tous, oui TOUS tes peurs, blocages et comportements incontrôlables. Et oui, cela fonctionne !

Je suis Aude, thérapeute en LMTC© (Libération des mémoires traumatiques du corps), pédagogue et chercheuse invétérée, j'ai développé cette méthode rapide pour te permettre de libérer de tous, oui TOUS tes peurs, blocages et comportements incontrôlables. Et oui, cela fonctionne !


N'hésite pas à me rejoindre sur instagram


0 commentaire
bottom of page