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Se libérer de l'anxiété et de la dissociation

Dernière mise à jour : il y a 5 heures

Aujourd’hui je t’explique d’où vient l’anxiété et comment on s’en libère, car oui, on peut s’en libérer définitivement. Comme le mot « angoisse », le terme « anxiété » recoupe des réalités bien différentes que ce soit au niveau des symptômes (manifestations corporelles) et des situations dans lesquelles elles se déclenchent : elle peut émerger au détour d’un événement précis, faire irruption sans que l’on ait perçu de déclencheur où être tout simplement là de manière chronique, en toile de fond au quotidien.


Les peurs et symptômes associés à l'anxiété


Cette anxiété est liée à un sentiment d’insécurité, voire de danger, qui donne l’impression que l’on va perdre pied, perdre le contrôle de son corps, voire même s’évanouir. Au niveau des symptômes, le dénominateur commun est une gène respiratoire au niveau de la poitrine, souvent ressentie sous forme d’oppression, et même si cette gène n'est pas présente lorsque l'anxiété fait irruption dans le quotidien, elle est toujours là lorsqu'on explore le trauma en séance.


Les autres symptômes habituels sont une accélération du rythme cardiaque, une perte de sensation dans les membres, une pression au plexus solaire et une gorge nouée.


La racine de l’anxiété est la même que celle de certains épisodes de peur intense en voiture, lorsqu’on commence à sentir une perte de contrôle ainsi que des engourdissements ou la disparition de sensations dans les membres. De même, il y a des personnes qui ne peuvent s'empêcher d'envisager en permanence des scénarios catastrophes pour leurs proches. Ça aussi, c'est la même racine. Aussi, les problèmes de dissociation mentale, la difficulté à se sentir pleinement dans son corps ou bien « encastré » dedans sont à mettre dans le même sac.


Si tu te reconnais dans ces brèves descriptions c’est que tu as vécu ce que je vais t’expliquer ci-après.


Les événements à l'origine de l'anxiété


Peur de s’évanouir, de perdre de pied, de ne pas pouvoir gérer, de s’effondrer, de s'étouffer, voilà les peurs principales qui accompagnent les phases d’anxiété. Et sache qu’une peur ne sort jamais de ton imagination mais est toujours issue d’une expérience vécue même si tu n’en as pas le souvenir. 


L’origine de ces troubles anxieux prend sa source encore une fois dans ce qui t’est arrivé en tant que foetus et là encore, il s’agit d’un événement très précis : l’évanouissement par asphyxie


Eh oui ! Un foetus ça peut s’évanouir à cause d'un problème de cordon ombilical pincé. Dans ces conditions, l'apport en oxygène se trouve drastiquement réduit et le foetus s'asphyxie, provoquant de fortes douleurs au niveau de la poitrine, des engourdissements dans les membres, mais aussi de la peur, voire de la panique. 


Mais que se passe-t-il lorsque le foetus perd conscience ? Il peut subir une décorporation partielle ou totale. Dans tous les cas, cela engendre une sensation agréable de flottement qui le coupe des douleurs qui s’expriment dans le corps.


En séance, il y a des indicateurs pour savoir si la décorporation est totale ou partielle. Lorsqu’elle est partielle, on a le sentiment d’être décalé par rapport à son corps (à gauche, à droite ou vers le haut) ou de n'en occuper qu’une seule partie (toujours la partie supérieure) mais on ressent toujours son corps. On a juste l’impression bizarre de ne pas être très bien imbriqué. Lorsqu’elle est totale, on ne ressent plus du tout son corps comme si on flottait dans le cosmos. 


Ces asphyxies ont pu se produire une fois ou plusieurs au cours de la grossesse, en fonction des événements qui se sont produits, ce qui a bien sûr une incidence sur la puissance des symptômes, donc de l’anxiété, dans la vie quotidienne.


Les autres conséquences : Dissociation, problèmes psychomoteurs et d'ancrage


Dans tous les cas, ces mémoires restent actives dans le corps toute la vie durant, tant qu’on ne les a pas évacuées, et peuvent s’activer de manière aléatoire au quotidien et engendrer aussi cet inconfortable sentiment d’être « à côté de ses pompes », de ne pas être dans ses jambes, d’être décalé ou carrément absent. Et cela entraîne tout un tas d’embêtements psychomoteurs au quotidien : par exemple se cogner de partout car on a mal calculé l’emplacement de l’encadrement de la porte ou de la table basse ou d’avoir des doigts en mousse et de tout faire tomber. 


Mais aussi, ces épisodes, notamment la décorporation, sont une des causes de la dissociation, tu sais, ce sentiment de partir très très loin de la réalité quand tu vis une expérience désagréable, et de perdre des pans entiers des événements que tu vis sur Terre. Pourquoi ? Il faut comprendre que la décorporation est une délivrance pour le foetus car cela le coupe de la douleur que son corps est en train de vivre. Lorsqu'elle s’est produite une fois, la conscience sait retrouver le chemin et s’extirper lorsqu’un inconfort survient, ce qui peut être salvateur mais aussi totalement subi. 


Idem pour les problématiques d’ancrage. Lorsqu’on a vécu ce type d’expérience, inutile de s’épuiser à faire des exercices de visualisation de racines, le problème reviendra toujours.


Extrait d'une séance pour un problème d'anxiété au volant


L’une des situations type dans lesquelles ce malaise anxieux se manifeste, c’est évidemment au volant lorsqu’on doit conduire sur de longues lignes droites. Donc si tu es concernée par ce problème, sache que c’est tout à fait réglable, et ce, définitivement !


Avant la perte de conscience


Il y a quelque chose dans le haut de la cage thoracique. Comme un truc qui monte et qui me donne envie de pleurer. J’ai un peu la tête qui tourne. On m’appuie entre la poitrine et l’épaule. C’est mon omoplate qui s’enfonce. Ça fait un poids dans le plexus. L’arrière de la tête s’alourdit et elle bascule à gauche.

Après la perte de conscience


Ça s’est relâché. Je me sens calme. Les muscles sont détendus, les bras et l’arrière du corps aussi. Comme si ça flottait surtout sur les bras. C’est comme si je nageais. Il y a un mouvement de balancier de gauche à droite.

Puis le retour dans le corps


L’épaule remonte en direction de la tête . Ça entraine le dos. Je me sens triste d’un coup. Je me sens nauséeuse.


 

Je suis Aude, thérapeute en Libération émotionnelle, pédagogue et chercheuse invétérée, j'ai développé une méthode rapide pour te permettre de libérer de tous, oui TOUS tes peurs, blocages et comportements incontrôlables. Et oui, cela fonctionne !

Je suis Aude, thérapeute en LMTC© (Libération des mémoires traumatiques du corps), pédagogue et chercheuse invétérée, j'ai développé cette méthode rapide pour te permettre de libérer de tous, oui TOUS tes peurs, blocages et comportements incontrôlables. Et oui, cela fonctionne !


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